Alors que seuls 0,14 % des flux en cryptos sont liés à des activités criminelles, les régulations KYC/AML imposées au nom de la lutte contre le blanchiment mobilisent des milliards chaque année. Pourtant, 99,8 % de l’argent sale continue de circuler librement, échappant à ces dispositifs inefficaces. Faut-il continuer à sacrifier vie privée, innovation et argent public pour une régulation qui échoue à remplir sa mission ?
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